Villeneuve est mis à la porte

on s'en tape du président, c'est pas lui qui joue.
Villeneuve ou un autre, c'est la même, surtout que colony capital vérouille tout.
Le terrain dicte la vérité, le reste, c'est du blabla

Je suis déçu, j'avais vraiment pensé que Villeneuve aller se battre pour garder sa place...

D'un coter il sait très bien que Bazin va le mettre à la porte alors c'est lutter pour rien.

Villeneuve a vu les joueurs

Alors qu'il va bientôt laisser son poste de président du Paris-SG, Charles Villeneuve se trouve au Camp des Loges ce vendredi matin. Arrivé vers 9h15, l'ancien journaliste de TF1 a rencontré les joueurs pendant une heure. Il est toujours au centre d'entraînement parisien, alors que la séance prévue par Paul Le Guen n'a pas encore débuté. (Avec C.Mi, au Camp des Loges)

L'equipe

ouais il les a vu mais est ce qu'il les a reconnu??...lol

"Bon les mecs je m'en vais, on me débarque pour me prendre ma place et cherchez pas y aura pas de recrutement cet été! N'essayez pas de me joindre je pars dans les iles..."

Si Villeneuve revient avec un milliardaire, Bazin va faire une drôle de tête! Je vois pas pourquoi un émir qui ne sait pas quoi faire de ses pétrodollars ne pourrait pas être intéressé par le PSG. Le rayonnement de la ville lumière est considérable, voire unique au monde, c'est quelque chose qui s'exploite, non?

Bazin réfléchit à la présidence

Pour le première fois depuis son arrivée au Paris-SG, Sébastien Bazin admet qu'il pourrait être intéressé par la présidence, même s'il rappelle qu'il n'en a jamais fait une fin en soi. «Si j'en avais envie, j'aurais pris la présidence depuis longtemps. Là, j'ai envie de réfléchir». Il entend profiter des dix jours qui lui reste avant l'Assemblée générale programmée le 3 février pour définir «l'organisation dont ce club a besoin». «Ces trois premières saisons m'ont appris que président de plein exercice du PSG, c'est un travail à plein temps. Je dirais même au-delà du plein temps, explique-t-il. Aujourd'hui, je veux une stabilité. J'espère que la future organisation restera en place plusieurs années». Il en profite pour réaffirmer qu'«il n'y a pas de problème de trésorerie» au PSG et assure que cette crise de gouvernance n'aura pas de répercussions sportives. «Les répercussions, je les craignais depuis trois jours mais je ne les crains plus depuis ce matin (vendredi) et notre discussion avec les joueurs».

Retrouvez l'intégralité de l'entretien croisé de Charles Villeneuve et Sébastien Bazin dans L'Equipe, ce samedi.

L'Equipe

La moindre des choses pour faire preuve d'impartialité aurait été, sur la photo et sur le titre de votre dernier paragraphe d'indiquer tout comme vous le faites pour Mossieur CHARLES Villeneuve (qui pour mon goût aussi intéressant le PSG qu'il rendait intéressantes ses émissions à sensation parfois frelatées sur TF1), le prénom de Monsieur Bazin non ?

Quand on lit ça on se dit surtout que Villeneuve est un guignol. "Je pensais que tous les administrateurs avaient les mêmes ambitions que moi." C'était à lui de discuter du projet sportif et des moyens financiers avant d'accepter la présidence. L'attitude de Colony montre plus de constante, malheureusement dans la frilosité et la médiocrité, que Villeneuve. Résultat une crise de plus, et avec quels effets sur les résultats sportifs alors que la dynamique était bonne cette saison.

Paris est magi... pathétiques !!!!

mourinho a écrit:

Paris est magi... pathétiques !!!!

Cayzac «voit rouge»

Les explications fournies par Charles Villeneuve, le PDG démissionnaire du Paris-SG, samedi dans L'Equipe, ne sont pas passées inaperçues. L'ancien président, Alain Cayzac s'est senti visé et réplique dans le Journal du Dimanche. Une phrase en particulier a fait bondir Cayzac, celle où Villeneuve dit regretter d'avoir envoyé sa fameuse lettre à tous les adminsitrateurs du club. «Je pensais que tous les administrateurs avaient les mêmes ambitions que moi. L'un d'entre eux, ou un certain nombre d'entre eux, n'avaient certainement pas les mêmes ambitions pour le PSG...»

«Entre les lignes et sans être parano, il m'accuse pratiquement d'avoir balancé sa lettre dans la presse», fulmine Alain Cayzac, ajoutant : «Charles Villeneuve veut me faire porter le chapeau. La preuve, il dit qu'il n'a pas fait une connerie en envoyant la lettre aux administrateurs - en fait, c'est une vraie connerie- mais il regrette que des mecs mal intentionnés l'aient envoyée à la presse. Il a besoin de passer pour une victime. Et il me fait ce qu'on a fait à (Michel) Denisot (président du PSG entre 1991 et 1998, NDR) par le passé : le coup des intentions machiavéliques de l'ancien président. Tout marchait correctement jusqu'à cette lettre. Je trouve ça pathétique.»

Pas candidat
Interrogé sur ses intentions dans la perspective du conseil d'administration extraordinaire du 3 février qui désignera un successeur à Charles Villeneuve, Alain Cayzac assure qu'il n'est nullement candidat. «Il faut passer à un autre projet avec du sang neuf. là-dessus, Villeneuve a raison. Il faut une personne qui posséde une culture sportive. Moi, j'ai envie de faire ce qui est bon pour le club. Jouer un rôle sans être en première ligne, donner un petit conseil, très bien.» Sébastien Bazin, le président Europe de Colony capital, principal actionnaire du PSG (62,5%) doit-il lui-même devenir président ? «A court terme, ce serait la meilleure solution, répond Alain Cayzac. Un signe d'apaisement, de clarification.»

L'Equipe

La prochaine fois il se contentera d'envoyer des cartes de voeux : c'est plus consensuel.

Le PSG n'est pas prés de redevenir un grand club sur le plan européen tant qu'il ne sauras pas assuré un minimum de stabilité dans ses troupes de têtes pensantes. Les actionnaires qui ne veulent réaliser qu'une bonne opération financière (qui n'est pas prés d'arriver vu la gestion des crises médiocre).

Villeneuve : «Qu'il se taise !»

Sans jamais le désigner nommément, Charles Villeneuve, président démissionnaire du Paris-SG est revenu à la charge contre Alain Cayzac, son prédecesseur au club qu'il a accusé à mots couverts dans l'émission de TF1 Téléfoot, dimanche, d'être «l'étrangleur ottoman», comprendre l'administrateur qui a transmis à la presse la fameuse lettre dans laquelle il réclamait davantage de moyens.

«Aucun ancien président ne devrait faire partie du conseil d'adminsitration du club. Si le club leur (aux anciens présidents) tenait autant à coeur, ils se tairaient.» «Qu'il se taise», a-t-il répété en réponse à une question à propos d'Alain Cayzac, qui lui reprochait d'être «insultant» à son égard dans une interview au Journal du Dimanche. «Je ne comprends pas (la réaction de Cayzac), a-t-il encore dit. Il m'avait envoyé un texto pour me dire "Bravo, sortie très digne".»

Interrogé sur un article de L'Equipe Dimanche soulignant les divisions du vestiaire parisien entre pro-Villeneuve et pro-Le Guen, il a minimé l'impact que pourrait avoir la crise de gouvernance sur la cohésion de l'équipe. «Il y avait un ou deux joueurs qui craignaient mon autorité. A Paul Le Guen de les reprendre en main», a-t-il lancé avant de répondre, après un assez long silence, à une question sur son après-PSG : «Reprendre mon métier de journaliste.»

L'Equipe

Elle est pas bientôt fini cette histoire ? Car là j'en ai ras le c** ! Vivement le 3 Février que Villeneuve se casse et que l'on n'arrête de parler de cette histoire.

Mais taisez vous donc cayzac et villeneuve, des vrais gosses,ils font plus de tort à paris en l'ouvrant qu'autre chose,pfff ridicule.

J'ai regardé spécialement telefoot pour écouter Villeneuve, et maintenant je me rappelle pourquoi je ne regardais plus cette émission....c'est nul!!!

Cette histoire est vraiment lassante l'Equipe ne cherche qu'a vendre en parlant sans cesse de ça.

Villeneuve voulait Djorkaeff

Charles Villeneuve, président démissionnaire du PSG, aurait envisagé de s'adjoindre les services de Youri Djorkaeff. Le dirigeant aurait proposé à l'ancien international français, 40 ans, un poste de "conseiller du Président". Une fonction qui aurait séduit celui qui a notamment défendu les couleurs du Paris-SG, de l'Inter, de Kaiserlautern et de Bolton. «On réfléchissait au meilleur moyen de le faire, explique Djorkaeff dans Le Parisien. Car, moi, je ne voulais pas casser la dynamique actuelle et je ne voulais surtout pas faire d'ombre à Paul Le Guen».

A la question de savoir si le poste de Président d'un tel club l'intéresserait, le "snake" ne dit pas non, mais sous certaines conditions. «Si vous demandez à deux cents anciens joueurs du PSG, cent quatre-vingt-dix-neuf vous diront "oui ça m'intéresse". Moi je demanderais : "Pour quoi faire". Parce que si c'est pour prêter son nom à un groupe pour faire plaisir aux supporters et aux media, c'est non ! Mais si c'est pour un vrai challenge, sur le long terme, avec de vrais pouvoirs, pourquoi pas ?».

L'Equipe

Je n'ai rien contre Djorkaeff qui a été un très bon joueur, de là à occuper ce genre de poste je suis beaucoup plus réservé. Ceci dit il n'y a que sur l'ouvrage que l'on juge l'ouvrier. DE toute façon je ne pense pas que Colony Capital envisage cette solution.

Vous inquiétez pas pour Charles Villeneuve. Il doit avoir sa petite idée en tête pour faire sauter Bazin et consorts. Il a du trouver un généreux Mécène dans les émirats.
Tout est calculé et médiatisé à outrance pour favoriser ses desseins.

Bazin devrait bien prendre la relève

Même si rien n'est encore officiel, tant que Charles Villeneuve n'a pas encore démissionné (ndlr, prévue le 3 février lors de l'assemblée générale), Sébastien Bazin devrait bien, selon toute vraisemblance, succèder à l'ancien chef des sports de TF1 à la présidence du club parisien. Le représentant en Europe de Colony Capital, l'actionnaire majoritaire du PSG, aurait selon L'Equipe de samedi, décidé de se lancer, avec à ses côtés Philippe Boindrieux, comme directeur général exécutif. Il s'agirait alors de la première fois depuis l'ère Borelli qu'un président du club en serait également le propriétaire.

Dans ce mini-remaniement, Alain Roche resterait à la tête de la cellule recrutement dans un premier temps. Tout comme Paul Le Guen à la tête de l'équipe première. Contacté par Bazin, Gérard Houllier, en poste à la Fédération française, ne quittera finalement pas ses fonctions de Directeur technique national. Idem pour Pierre Dréossi, lui aussi sollicité, à Rennes.

L'Equipe